vendredi, octobre 13, 2006

La loi contre la négation du génocide arménien adoptée

Pour Jean-Marie Le Pen, "les socialistes, avec la complicité de parlementaires de la majorité, veulent (...) une loi Gayssot-bis, réprimant la contestation du génocide arménien. Prétendant rendre une telle loi "raisonnable", Patrick Devedjian ajoute le scandale au scandale, avec un amendement selon lequel l'interdiction de la contestation ne s'appliquerait pas aux recherches universitaires ou scientifiques. Il y aurait ainsi deux catégories de citoyens. Le professeur qui peut dire ce qu'il veut, et Glandu qui serait trainé en justice s'il répéte ce qu'a dit le professeur.
C'est une nouvelle étape dans le démantèlement de l'Etat de droit" a conclut le président du Front national.